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Quel que soit votre âge, l’hypnothérapie peut vous aider dans différentes situations. 

 

1 – Vous avez vécu un traumatisme qui vous bloque : comme si vous étiez face à un mur, vous ne pouvez plus avancer.

Il peut s’agir d’un deuil, d’un burn-out professionnel, d’un accident, d’une séparation : toutes sortes de circonstances où revoir l’image de soi prépare l’avenir, permet de se relancer.

 

2 – Depuis des années, confronté à telle ou telle situation, vous adoptez un comportement, toujours le même, qui vous empêche de progresser.

Deux mécanismes sont possibles, inverses mais qui conduisent au même résultat. 

On peut s’empêcher de progresser en s’excluant d’expériences utiles, par diverses peurs : phobie scolaire, évitement social, peur de prendre la parole en public, ou de prendre l’avion, de conduire, ou simplement peur de faire des choix.

On peut aussi s’empêcher de progresser en absorbant quelque chose d’inutile, ou dont l’excès est inutile : il s’agit des addictions.

L’un ou l’autre mécanisme empêche une qualité intérieure de s’épanouir, une envie de se réaliser. Ce comportement a fait son temps, et l’hypnose est un état privilégié pour trouver son dénouement et passer à autre chose.

 

3 – Dans votre existence quotidienne, vous êtes handicapé par un symptôme que vous voulez simplement résoudre. L’hypnothérapie ne s’intéresse aux composantes psychiques que si vous-mêmes vous y intéressez : elle se résume parfois, très sainement, à couper un lien sans se perdre dans ses origines.

Trois exemples.

 

  • Les troubles du sommeil

Les causes peuvent être innombrables, et ne constituent donc certainement pas le premier objectif. L’objectif est de changer ; comprendre sera de surcroit.

 

  • Les manifestations déclenchées par un stress : eczéma, intestin irritable, certaines migraines,…

Ces manifestations surviennent sur un fond très réactif de la personne, incluant son anxiété. Mais sans rien toucher de cette infrastructure (et d’autant moins qu’elle peut avoir son utilité par ailleurs), l’hypnose peut déjà désensibiliser l’anxiété vis à vis de tel ou tel stress spécifique.

Et lorsque progressivement, on apprend à vivre avec, l’anxiété devient autre chose que de l’anxiété puisqu’elle se transforme en outil de progression. 

 

  • La douleur

Ici, l’hypnose ne plonge pas dans les causes parce qu’elle ne serait plus à sa place. La douleur constitue un signal que vous vous adressez à vous même. L’hypnose peut vous aider à entendre votre signal différemment, à en recadrer les excès. Mais ce signal a des causes qui doivent être recherchées et traitées médicalement. 

 

4 – Vous êtes atteint d’une maladie somatique chronique. 

L’hypnose ne soigne pas les maladies somatiques (*).

En revanche, elle propose des outils pour mieux gérer le retentissement émotionnel de ces affections, c’est à dire des outils de qualité de vie, qui facilitent par ailleurs tous les autres traitements.

« Un opéré se prépare comme un sportif », m’avait dit un jour un médecin qui pratiquait l’hypnose. 

Aux accompagnants par ailleurs, premiers acteurs de soins, un approfondissement en hypnose peut être utile, à une étape ou à une autre.

 

5 – Enfin, vous allez parfaitement bien, et votre demande n’est pas la résolution d’un symptôme mais la satisfaction d’une envie : réussir un examen, un entretien professionnel ou une reconversion, une épreuve sportive, que sais-je …

Répondant à une demande de performance, l’hypnose n’est plus un outil thérapeutique mais devient un outil de développement personnel.

Cela dit, lorsqu’on saute le pas, lorsqu’on choisit de se mesurer à une épreuve, venir découvrir en hypnose que l’on dispose de ressources bien au delà de ce que l’on imaginait, c’est vraiment sympa pour la confiance en soi. 

 

 

(*) – Ni les maladies psychiatriques à type de psychose, qui constituent même l’unique contre-indication formelle de l’hypnose.

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